Articles tagged with: robotique
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Un robot qui se promène tout seul, c’est fun, mais on s’en lasse vite, surtout quand on a peu de metres carrés exploitables. Comme je le disais dans l’article précédent, l’étape suivante, c’est de pouvoir piloter le robot.
Il y a la méthode cheap à l’ancienne, avec de l’infrarouge, mais ça marche franchement pas bien et la porté est très limitée. Ceci dit, c’est le plus facile à mettre en oeuvre et on peut faire parler n’importe quelle télécommande avec l’arduino, y compris le vieux bidule de l’ancienne freebox qui traîne dans un coin.
Mais pour faire une vrai télécommande, de nos jours, on utilise de la radio, et si possible, du 2.4Ghz, fréquence de résonance de l’eau apte à tous nous coller des cancer du cerveau (que j’ai toujours pas compris pourquoi, d’ailleurs … J’veux dire, pourquoi on a déployé tant de bidules qui utilisent cette fréquence ? pourquoi pas 3.4Ghz ?) Lire la suite »
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[On parle de la vitesse d’un robot hein… pour connaitre votre vitesse en planche à voile, le plus simple, c’est un GPS]
Je vous ai déjà plus ou moins montré comment un robot pouvait se promener tout seul sans se prendre les murs. Il existe, ensuite, deux grandes familles de mouvement :
- Se promener en suivant les ordres d’un humain (ou d’un autre robot, pourquoi pas…)
- Se promener tout seul suivant un parcours défini
Comme je suis un peu agité, je vais développer les deux en même temps, sinon, c’est pas rigolo.
Un préalable à beaucoup de choses, c’est de connaitre sa vitesse, autrement dit, savoir combien de mètres on a roulé depuis telle heure. Pourquoi ? Tout simplement parce que beaucoup de moteurs n’ont pas de notion de rotation, tournent plus ou moins vite selon le voltage de la batterie ou ce qui lui reste en stock, le robot est donc totalement aveugle quant à sa vitesse ou sa position dans son environnement. Lire la suite »
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Les premiers temps, mon copain le robot se promenait avec un rack de piles sur le dos. C’était pas super sexy et ça tombait tout le temps. Sans compter la galère pour enlever les piles de l’engin, les charger, etc …
Bref, il fallait faire quelque chose. Si vous avez tout bien suivi, vous savez que j’ai un AR.Drone en pension à la maison pour quelques temps. A défaut de pouvoir le faire voler pour cause de grand vent ces temps-ci, j’ai mis à contribution la paire de batterie livrée avec puisqu’elles ont l’infini bon goût de rentrer au millimètre près à l’arrière du châssis du tank en construction.
L’engin dispose de deux connecteurs, l’un pour la charge avec 4 broches permettant de charger les deux cellules de la batterie de façon indépendante et un second pour la décharge qui porte le doux nom de Tamiya. Non, c’est pas une belle blonde, c’est un bout de plastique avec du métal dedans. Lire la suite »
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Je vous ai promis de vous expliquer comment mon petit tank préféré faisait pour ne pas se manger les murs. Il n’est pas (encore) question de lui faire distinguer un mur d’une poussette ou du sac à main de madame, on va juste considérer qu’il ne faut pas foncer dans un obstacle (oui, le chat est un obstacle).
Pour faire ça, trois écoles s’affrontent :
- Une caméra associée à un logiciel de reconnaissance de mouvement qui sait reconnaître le sol du reste et agir sur les moteurs en conséquence. Un peu overkill et trop gourmand pour une pauvre petite arduino.
- Un émetteur / récepteur à ultrason qui va transformer votre engin en chauve souris qui saura à peu près ce qu’elle a devant elle (ou au moins les contours)
- La même chose avec de l’infrarouge, beaucoup moins précis mais, au final, on s’en fiche pas mal, tout ce qu’on veut, c’est ne pas détruire le château fort en légo du petit dernier en tapant dedans
Je n’ai pas encore commencé le hack à proprement parler (dans le sens détourner des choses de leur usage d’origine), j’ai donc opté pour deux détecteurs de proximité déjà fabriqués y-a-plus-qu’à-brancher (7.5 $) que j’ai fixés sur la platine du tank avec des oreilles spécialement faites pour. La version Do It Yourself aurait consisté à trouver les composants et à les monter proprement sur un bout de circuit imprimé (probablement moins cher mais beaucoup plus long).
En pratique, comment ça marche ? On branche la chose à la masse et au 5 volts, puis, on branche la dernière patte sur une broche numérique de l’arduino (j’ai choisi 8 pour la gauche et 9 pour la droite). Il faut ensuite régler la sensibilité de l’engin avec un petit tournevis à l’arrière, ce qui permet de détecter la présence d’un objet devant « l’oeil » entre 15 et 200 centimètres. J’ai mis au plus court pour ma part, vu l’encombrement du sol de la maison :) Lire la suite »
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Comme vous ne le savez peut-être pas, je suis en vacances longue durée et assigné à résidence. Les beaux-parents étant de la partie, j’occupe comme je peux mon temps libre.
Ça faisait un moment que je voulais me pencher sérieusement sur une petite carte que j’avais dans mes tiroirs depuis un moment : arduino.
Et puis, un camarade a eu la bonne idée de laisser son AR.Drone en pension chez moi, donc j’ai un peu joué avec.
Bon, faire clignoter des leds, c’est marrant, mais ça lasse vite et puis je suis plutôt du genre à faire ça avec un NE555, un PIC comme celui qui est embarqué sur les arduino, c’est un peu overkill.
Hacker l’AR.Drone qui n’a qu’un port USB peu accessible, c’était faisable mais je ne voulais pas casser le joujou qui coûte quand même une couille. Je pourrais tenter de monter un truc qui vole de A à Z, mais j’en connais qui s’y sont déjà cassé le nez et le porte-monnaie.
J’ai donc cherché un projet pas trop casse noix, mais un peu fun quand même, qui coûte pas trop cher en composants de base et qui puisse m’occuper quelques temps. Lire la suite »